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HARMONIES
DIVINES
Si nous voulons des relations humaines harmonieuses
avec notre famille, notre entourage, notre association
et notre voisinage, il nous faut, comme le dit
Jésus, un œil bon pour regarder chaque
personne. Et pourtant, nous ses disciples, pouvons
céder à un certain nombre de dérives.
La première dérive nous est présentée,
dans la Bible, avec le mythe d’Abel et
Caïn : Caïn est jaloux de son frère
Abel et le tue. Jalousie mauvaise quand nous
estimons que nous n’avons pas reçu
autant de « talents » qu’une
autre personne. L’Apôtre Paul nous
propose le remède : estimer les autres
comme supérieurs à soi et s’en
réjouir. Ainsi les rivalités, la
jalousie et la violence cèdent le pas à la
bienveillance, à la paix et à l’amour
fraternel qui sont « fruits de l’Esprit
Saint ».
La seconde dérive est la certitude d’avoir
toujours raison parce que nous avons réfléchi,
que nous sommes intelligents, que nous voyons
mieux que les autres, ce qu’il faut faire
et l’imposer. Cela nous conduit à toutes
sortes d’intégrismes ou de tentations
d’intégrisme, à la fermeture
d’esprit qui nous interdit l’accueil
des diversités humaines, de l’opinion
des autres. Comme le dit Jésus : celui
qui veut être le premier qu’il prenne
la place de l’esclave, du serviteur.
La troisième dérive est la méchanceté qui
s’exprime par des jugements durs, des calomnies,
des médisances. En tant que disciples,
n’imaginons pas que nous échappons à cette
dureté et à cette méchanceté,
le Seigneur nous appelle à avoir un cœur
pur, à être doux et humbles, à réconforter, à construire
la paix, à vivre la réconciliation, à être
miséricordieux comme le Père. Sommes-nous
si forts que nous n’admettions pas la faiblesse
et les limites des autres ? Comment alors rejoindre
la « pauvreté » de Dieu ?
Le Père Varillon disait qu’au cœur
de la Trinité, il y avait un « éternel
lavement des pieds », car ce geste de Jésus
exprime la plénitude de l’amour
qui est en Dieu, amour pour tous les hommes.
C.L. |
LE SACREMENT
DE LA
RÉCONCILIATION
Il nous permet de nous renouveler
dans la grâce de notre baptême. Le
ministre et le chrétien laïc sont
pécheurs et commencent à rendre
grâce au Seigneur pour tous ses dons, confiants
dans le pardon accordé. L’aveu de
nos péchés nous aide, sans culpabilisation, à voir
les conversions auxquelles nous sommes appelés.
Toussaint, Avent et Noël, moments privilégiés
pour faire le point sur notre vie selon l’Évangile
et recevoir le pardon du Seigneur. Un prêtre
a TOUJOURS le temps pour vivre avec nous ce temps
de réconciliation.
C.L. |
HORAIRES DES CÉLÉBRATIONS
DOMINICALES
DE L’EUCHARISTIE
À PUYRICARD : samedi 18h (hiver) 18h30
(été)
dimanche 10h30
Au PUY STE REPARADE : dimanche 11h
À MEYRARGUES : dimanche
9h30
Aux PINCHINATS : dimanche 9h30
À ST EUTROPE : dimanche à 10h30
À VENELLES : samedi 18h30 – dimanche
10h30
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À PROPOS
DES FINANCES DE L’ÉGLISE
L’Église a deux ressources principales
: la quête pendant la liturgie dominicale
et le denier de l’Église.
Nous sommes sollicités souvent à la
sortie des messes, mais la quête dominicale
est essentielle pour que l’Église
vive.
Quant au denier de l’Église, plus
nous le versons tôt dans l’année,
plus l’Église se porte bien.
Les offrandes pour la célébration
des messes et des sacrements ne sont pas négligeables
mais elle sont seulement un complément.
Les dons pour la paroisse ou pour l’église à venir
sont les bienvenus.
Merci de votre générosité déjà grande.
Mais les besoins sont grands, eux aussi, aujourd’hui
et dans les années qui viennent.
Avec le Conseil Économique, C.L. |
| DANS L’ÉPREUVE
Quand nous sommes dans l’épreuve,
nous pouvons être certains que Dieu entend
notre cri de désarroi et de révolte
: « un pauvre a crié, Dieu l’écoute
et le sauve » (psaume 33). Va-t-Il nous « épargner » par
une intervention magique ? Nous pouvons être
certains qu’Il nous donne en abondance
son Esprit de force et de lumière pour
que nous vivions cette épreuve dans l’espérance « car éternel
est son amour » (Psaume 118).
Allons-nous vivre cette épreuve en étant
isolés ? Non, le Seigneur nous envoie
des frères et des sœurs pour nous
réconforter et nous aider à retrouver
la force de vivre. Dans son agonie à Gethsémani, « un
ange le réconfortait et il priait de façon
plus intense » (Luc 22/43-44). Le Seigneur
nous rejoint profondément par le don de
son Esprit et l’envoi de frères
et de sœurs. Ainsi Il nous sauve car Il écoute
notre prière.
C.L |
